Parce qu’il n’y a pas d’âge pour se réinventer, Sylvie, graphiste et illustratrice, décide à 50 ans de se reconvertir dans le chocolat. Avec Eve, sa fille pâtissière, elle s’associe pour créer une entreprise de bouche.
Pour Sylvie, ce sera la formation à la confection des bonbons de chocolat ; pour Eve, la poursuite de ses recherches en pâtisserie, un soupçon de cacao en plus. Après un an de formation au Lycée Professionnel de Ploufragan et chez quelques-uns des meilleurs artisans du terroir breton (Leroux à Quiberon et Hafnaoui à Plouhinec), voilà Sylvie jeune chocolatière diplômée !
De son côté, Eve s’est formée à l’école Grégoire Ferrandi à Paris avant de poursuivre son apprentissage chez ces grands d’ici et d’ailleurs (Pierre Hermé à Paris, Miette cake à San Francisco et Pâtisserie Yacout à Agadir. La passion du théâtre et ses études supérieures de littérature et de philosophie l’ayant finalement poussée vers les gâteaux, car, comme disait Marcel Proust : « de la pâtisserie à la littérature il n’y a qu’une bonne madeleine ».
Tels Bill Gate ou Jeff Bezos à leurs débuts, mère et fille commencent leur activité dans le garage de la maison familiale, avant de déménager dans le laboratoire de production de Plescop. Très vite, le petit cône chocolaté à la pointe colorée naît de leur collaboration créative.
Pour Sylvie, ce sera la formation à la confection des bonbons de chocolat ; pour Eve, la poursuite de ses recherches en pâtisserie, un soupçon de cacao en plus. Après un an de formation au Lycée Professionnel de Ploufragan et chez quelques-uns des meilleurs artisans du terroir breton (Leroux à Quiberon et Hafnaoui à Plouhinec), voilà Sylvie jeune chocolatière diplômée !
De son côté, Eve s’est formée à l’école Grégoire Ferrandi à Paris avant de poursuivre son apprentissage chez ces grands d’ici et d’ailleurs (Pierre Hermé à Paris, Miette cake à San Francisco et Pâtisserie Yacout à Agadir. La passion du théâtre et ses études supérieures de littérature et de philosophie l’ayant finalement poussée vers les gâteaux, car, comme disait Marcel Proust : « de la pâtisserie à la littérature il n’y a qu’une bonne madeleine ».
Tels Bill Gate ou Jeff Bezos à leurs débuts, mère et fille commencent leur activité dans le garage de la maison familiale, avant de déménager dans le laboratoire de production de Plescop. Très vite, le petit cône chocolaté à la pointe colorée naît de leur collaboration créative.
